En side-car sur les glaces du Baïkal

Deux mille kilomètres d'aventure autour des rives du plus grand réservoir d'eau douce du monde. Un voyage au coeur de l'hiver sibérien à la rencontre de ces Russes qui délaissent les faubourgs post-soviétiques pour choisir la vie dans les taïgas.
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Les évadés du siècle rouge

De mai à décembre 2003, Sylvain Tesson a mis ses pas dans ceux des hommes qui, pendant un demi-siècle, ont fui le goulag ou l’oppression soviétique. Un voyage de 6 000 kilomètres, de la Sibérie jusqu’au sud de l’Eurasie, à pied, à cheval et à bicyclette. Une célébration de l’esprit d’évasion et un hommage rendu aux damnés du siècle rouge, qui choisissaient la liberté. Huit mois à la rencontre des survivants du système concentrationnaire et des peuples jalonnant ces chemins de fuite.
(Ce reportage contient également des photos des pays suivants : Mongolie, Chine, Inde.)
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Les évadés du siècle rouge / traversée de la Sibérie

De mai à décembre 2003, Sylvain Tesson a mis ses pas dans ceux des hommes qui, pendant un demi-siècle, ont fui le goulag ou l’oppression soviétique. Un voyage de 6 000 kilomètres, de la Sibérie jusqu’au sud de l’Eurasie, à pied, à cheval et à bicyclette. Une célébration de l’esprit d’évasion et un hommage rendu aux damnés du siècle rouge, qui choisissaient la liberté. Huit mois à la rencontre des survivants du système concentrationnaire et des peuples jalonnant ces chemins de fuite.
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Baîkal, mon amour

Par nécessité ou désir poétique, des Russes s’installent sur les rives de ce lac sibérien ; un choix radical d’une autre vie, à l’écart des grandes villes. Rencontre de ces néo-Dersou Ouzala, ces candidats à l’ensauvagement, ces déçu d’un monde dépoétisé…
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Vologda, la belle oubliée d’Ivan le terrible

Le tsar Ivan IV dit « le terrible » adorait cette ville fondée à la même époque que Moscou où il se déplaçait avec sa cour. Il rêvait d’y établir sa capitale loin des boyards insurgés mais la légende veut qu’une malheureuse chute de pierre lui fit renoncer à son projet.
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La consolation des forêts

Le recours aux forêts pour apaiser les maux de l’existence. Sylvain Tesson a trouvé une solution radicale et vieille comme les expériences des ermites de la Thébaïde : s’enfermer seul dans une cabane, en pleine taïga sibérienne, pendant six mois, sur une rive perdue du lac Baïkal…
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LES QUARTIERS DU GÉNÉRAL HIVER

Dans le nord de la Sibérie orientale, Yakoutsk est considérée comme la grande ville la plus froide du monde. En hiver, les températures y descendent sous la barre des moins 50°, 350 000 personnes habitent et travaillent dans ce palais des glaces.
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Vladivostok « Seigneur de l’Orient »

La baie de ce poste avancé fondé par des cosaques en 1860 au cœur de l’Extrême-Orient russe abrite la flotte militaire du Pacifique, c’est aussi le terminus du célèbre Transsibérien. Du haut de ses fortifications, on peut apercevoir les côtes de la Chine, de la Corée du Nord et du Japon. Voyage au coeur de cette Europe asiatique.
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De Moscou à Paris, dans les pas des grognards

A bord de trois side car de fabrication soviétique, nous avons refait le parcours de la Grande Armée napoléonienne battant retraite au cours du terrible hiver 1812, harcelée par les cosaques, épuisées et affamée. Un périple de 3500 kilomètres pour que l’oubli ne les décime pas une seconde fois…
(Ce reportage contient également des photos du pays suivant : Suède.)
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Les lignes de vie de l’hiver sibérien

En pleine forêt de Sibérie occidentale, autour de la ville de Tomsk, par des températures extrêmes qui approchent les - 50° C, les techniciens de l’entreprise TRK se battent pour entretenir le réseau électrique qui relie comme un cordon ombilical les villages isolés au milieu des marécages gelés.
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Extrême-Orient russe : l’impasse des confins

Le kraï du Primorié, c’est l’ultime frontière du plus grand pays du monde, une province exotique confinant à la Chine et baignée dans la mer du Japon. Les diverses tribus toungouses qui peuplaient naguère les montagnes de Sikhote-Aline craignaient le tigre de Sibérie ; ce dieu félin baptisé Amba. C’était à l’époque des bandits mandchous et des grands explorateurs russes.
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Vladivostok, le nouveau visage du « seigneur de l’orient »

Choisie pour accueillir le somment de la Coopération Economique pour l’Asie Pacifique en 2012, la ville a changé de visage à coup de milliard de dollars : deux gigantesques ponts à haubans, un opéra ultra moderne, un campus universitaire démesuré…
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Jacques von Polier met le monde à l’heure russe

Avec son partenaire David Henderson-Stewart, il a sauvé la manufacture de Petrodvorets, la plus vieille de Russie, créée en 1721 par Pierre le Grand. Et avec elle, Raketa, la dernière marque de montres du pays. Un mythe. Ce Français à l’âme slave s’est donné un défi, faire de son entreprise le fleuron du luxe made in Russia. Et rien ne l’arrête.
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« Les oies sauvages vont vers le nord… »

Sur les rives de la Volga au nord de Moscou, une vingtaine de vétérans des troupes aéroportées françaises sont venus passer le Brevet de Parachutisme Militaire de 1e Degré Russe. Anciens des guerres d’Indochine et d’Algérie, 60 ans après la chute de Dien Bien Phu, ils ont coiffé leur béret rouge et endossé les antiques parachutes de l’Armée Rouge pour trois sauts mythiques en automatique depuis un Antonov 2 datant de 1947.
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Krotopkine ; les orpailleurs de la taïga

Dans les taïgas de Sibérie, à l’endroit où prospérait le sinistre archipel du Goulag se trouvent les mines d’or de la Krotopkine, oubliées du reste du monde et exploitées en secret depuis plus d’un siècle. Les pépites sont acheminées sous la garde d’un ex-colonel de l’Armée rouge dans des blindés à chenilles. À la rigueur des – 50° l’hiver succèdent les fléaux de la saison chaude : moustiques, marécages, tiques, ours et chaleur caniculaire.
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Raketa à Moscou : Trois fois plus grand que Big Ben !

L’usine de montres soviétiques Raketa vient de monter au cœur de Moscou le plus grand mouvement horloger du monde : une roue dentée de 4 mètres de diamètre en alliage de titane et plaquée or, une structure de 8 mètres de large, un pendule de 13 mètres de haut, des dizaines de roues crantées, des centaines de roulements à billes, d’engrenages, de vis et de boulons. Un chantier titanesque.
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A Moscou, au carré des héros…

Les restes du grand-duc Nicolas Nikolaïevitch de Russie, l’oncle du dernier tsar Nicolas II, commandant suprême des armées impériales en 1914, et de son épouse Anastasia de Monténégro, ont été inhumés au carré des héros de la première guerre mondiale du cimetière militaire de Sokol à Moscou, aux côtés des soldats qui ont combattu sous ses ordres. La Garde d’Honneur Russe accompagnait les cercueils couverts d’un drapeau impérial…
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De la Moskova à la Néva par les canaux du tsar

Pierre le Grand voulait que Moscou mène à toutes les mers du monde par les fleuves et les lacs, via des canaux qu’il fit creuser. Aujourd’hui, ils tissent la voie la plus originale pour découvrir la Russie éternelle. Embarquement depuis la Place Rouge et les murailles du Kremlin jusqu’aux façades dorées de l’Ermitage à Saint-Pétersbourg, d’une capitale à l’autre…
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L'Antarctique russe : la mer des cosmonautes.

La Russie aime les pôles, Sud compris. Elle envoie annuellement une expédition aux antipodes. Parfum soviétique et enjeux de demain. Premier écrivain français à bord du brise-glace Akademik Fedorov, mon ami Cédric Gras a affronté les Quarantièmes rugissants pour atteindre les rives de la Pravda et assurer le ravitaillement des bases russes. Il a partagé le quotidien des scientifiques et des « poliarniks ». Il présente ici les meilleures photographies de son périple.
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Libre comme un cosaque du Don…

Cosaque signifie « homme libre ». Nous avons lu leurs chevauchées mythiques dans un roman de Jules Verne, ils ont fait trembler les grognards de l’Empire, ils ont frôlé l’extinction avec soixante-dix ans de répression… Qui sont ces fameux cosaques aujourd’hui appelés en renfort pour la sécurité de la coupe du monde de football ? Au sud de la Russie, à Rostov-sur-le-Don, a lieu chaque année un rassemblement festif appelé Chérémitsy.
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A Stalingrad pour l’honneur des héros disparus

Plus grande confrontation de tous les temps, Stalingrad est la mère de toutes les batailles. La ville fut rasée et on estime que, durant les sept mois de combats, entre juillet 1942 et février 1943, 2 millions d’êtres humains, hommes, femmes et enfants, y perdirent la vie. Les soldats disparus sur le champ de bataille étaient considérés comme traitres à la Patrie ; potentiels déserteurs. Des associations patriotiques recherchent les dépouilles pour redonner à ces héros leur statut légitime. 37 d’entre eux viennent de rejoindre la terre sacrée du mémorial Mamaïev, la Mère-Patrie.
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Le retour impérial du général Charles Etienne Gudin

Retrouvée lors de fouilles menées en 2019 par les équipes de Pierre Malinovski dans un des bastions la forteresse de Smolensk en Russie, la dépouille du général de Napoléon César Charles Etienne Gudin de La Sablonnière a été rapatriée en France et devrait être inhumée aux Invalides le 2 décembre prochain, date anniversaire du sacre de l’empereur et de la bataille d’Austerlitz. Blessé lors de la campagne de Russie le 19 aout 1812 à la bataille de Valoutina Gora – un boulet de canon lui arrache la jambe gauche – il meurt à Smolensk le 22 août des suites de ses blessures après avoir reçu la visite de l’Empereur.
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